Le métro détruit.
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Le métro détruit.
Saya Otonashi Mer 10 Avr - 9:00
Saya arriva à hauteur du métro.
Les marches qui permettaient d'y avoir accès ne semblait pas détruites.
A tout les coups, c'est détruit, mais je préfère m'en assurer.
Elle descendit. Elle avait gardée son katana à sa main.
Une fois en bas, la ligne semblait à moitié détruite - la route menant vers Nagazaki ne semblait pas affectée, mais la route dans l'autre sens l'était. Rien ne circulait, mais il était possible de marcher jusqu'à Nagazaki. Au loin, Saya put apercevoir un feu de champ. Elle s'en approcha, il y avait des affaires autour, mais apparemment personne. Elle fouilla les affaires, rapidement, proche du feu, quand une voix se fit entendre.
"Alors mademoiselle, on joue les voleuses ?"
Elle se tourna. Un groupe de renégats armés arrivait.
Oh, je suis désolée, je pensais que ces affaires étaient abandonnés.
Une personne capturée semblait gésir sur l'épaule de l'un des hommes.
Ils s'approchèrent et posèrent cette dernière personne.
"Tu ne fuis pas ?"
Elle fût étonnée par la question.
Qui est cet homme ?
"Maintenant que la ville est détruite, des clans se forment. Il faut savoir survivre, il vient d'un clan ennemis."
Il remarqua le katana de Saya et semblait réfléchir.
"Tu es armée.."
Il regardait l'homme gisant.
"Dans ce cas, je te le laisse."
Je vous demande pardon ?
"Oui, tue le, montre nous que tu as le cran, et rejoint nous pour survivre."
Elle regardait l'homme, sans défense. Les voix dans sa tête reprisent. Elles lui suppliaient de ne surtout pas l'écouter et de laisser l'homme sain et sauf - au risque de les faire "disparaitre" (les voix). Elle fût étonnée à cette dernière phrase, sortit son katana, avant que les voix ne reprirent, de façon plus significative. Elle frappa l'homme, plusieurs fois, jusqu'à sa mort, et les voix disparurent de sa tête.
L'homme du gang semblait ravis, et leva les bras comme s'il s'agissait d'un culte.
"Bienvenu parmi nous.."
Saya restait le regard sérieuse - tandis que tout le monde s'approcha pour accueillir la nouvelle renégate.
Les marches qui permettaient d'y avoir accès ne semblait pas détruites.
A tout les coups, c'est détruit, mais je préfère m'en assurer.
Elle descendit. Elle avait gardée son katana à sa main.
Une fois en bas, la ligne semblait à moitié détruite - la route menant vers Nagazaki ne semblait pas affectée, mais la route dans l'autre sens l'était. Rien ne circulait, mais il était possible de marcher jusqu'à Nagazaki. Au loin, Saya put apercevoir un feu de champ. Elle s'en approcha, il y avait des affaires autour, mais apparemment personne. Elle fouilla les affaires, rapidement, proche du feu, quand une voix se fit entendre.
"Alors mademoiselle, on joue les voleuses ?"
Elle se tourna. Un groupe de renégats armés arrivait.
Oh, je suis désolée, je pensais que ces affaires étaient abandonnés.
Une personne capturée semblait gésir sur l'épaule de l'un des hommes.
Ils s'approchèrent et posèrent cette dernière personne.
"Tu ne fuis pas ?"
Elle fût étonnée par la question.
Qui est cet homme ?
"Maintenant que la ville est détruite, des clans se forment. Il faut savoir survivre, il vient d'un clan ennemis."
Il remarqua le katana de Saya et semblait réfléchir.
"Tu es armée.."
Il regardait l'homme gisant.
"Dans ce cas, je te le laisse."
Je vous demande pardon ?
"Oui, tue le, montre nous que tu as le cran, et rejoint nous pour survivre."
Elle regardait l'homme, sans défense. Les voix dans sa tête reprisent. Elles lui suppliaient de ne surtout pas l'écouter et de laisser l'homme sain et sauf - au risque de les faire "disparaitre" (les voix). Elle fût étonnée à cette dernière phrase, sortit son katana, avant que les voix ne reprirent, de façon plus significative. Elle frappa l'homme, plusieurs fois, jusqu'à sa mort, et les voix disparurent de sa tête.
L'homme du gang semblait ravis, et leva les bras comme s'il s'agissait d'un culte.
"Bienvenu parmi nous.."
Saya restait le regard sérieuse - tandis que tout le monde s'approcha pour accueillir la nouvelle renégate.
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Re: Le métro détruit.
Saya Otonashi Mer 10 Avr - 16:37
Plusieurs heures et affrontement étaient passés maintenant.
Saya était assise devant le feu, l'air pensive.
"Qu'est ce qu'il y a ?"
Je suis inquiète.
"De quoi ?"
Des gens me suivaient, disant que je devais sauver le monde.
"Sauver le monde ? Ah ah ! Cela dis, ce n'est pas impossible, regarde un peu tes capacités au combat, tu as assimilé un clan entier toute seule, tu pourrais être nommée chef du notre en à peine quelques heures ! Enfin, enfin.. en quoi ça t'inquiète ?"
J'ai peur qu'ils viennent ici pour m'arracher du clan.
Il rigolait un peu.
"Saya, tourne toi, et regarde vers le guichet."
Elle le fit - le guichet faisait vraiment peur. Il y avait des mitraillettes lourdes - reliés à des munitions qui tournaient partout dans la salle - sur les murs notamment. Il y en avait assez pour assimiler une armée de 3000 à 4000 hommes en tirant sans viser. L'endroit semblait être une vraie forteresse, des plaques de taules avaient étés ajoutés, c'était un vrai bunker.
"Nous avons de quoi arrêter une armée, si besoin. Tu es en sécurité, ici."
ça me rassure.
"Bien, dans ce cas, mangeons !"
[...]
Saya était assise devant le feu, l'air pensive.
"Qu'est ce qu'il y a ?"
Je suis inquiète.
"De quoi ?"
Des gens me suivaient, disant que je devais sauver le monde.
"Sauver le monde ? Ah ah ! Cela dis, ce n'est pas impossible, regarde un peu tes capacités au combat, tu as assimilé un clan entier toute seule, tu pourrais être nommée chef du notre en à peine quelques heures ! Enfin, enfin.. en quoi ça t'inquiète ?"
J'ai peur qu'ils viennent ici pour m'arracher du clan.
Il rigolait un peu.
"Saya, tourne toi, et regarde vers le guichet."
Elle le fit - le guichet faisait vraiment peur. Il y avait des mitraillettes lourdes - reliés à des munitions qui tournaient partout dans la salle - sur les murs notamment. Il y en avait assez pour assimiler une armée de 3000 à 4000 hommes en tirant sans viser. L'endroit semblait être une vraie forteresse, des plaques de taules avaient étés ajoutés, c'était un vrai bunker.
"Nous avons de quoi arrêter une armée, si besoin. Tu es en sécurité, ici."
ça me rassure.
"Bien, dans ce cas, mangeons !"
[...]
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