Re: [Dortoir] Seconde nuit.

Edward de Trystein Mer 14 Mai - 23:30

"Mon prince, les espions se débusquent plus facilement en laissant faire. Ils finiront par faire des erreurs. Tenter de les débusquer ne fera que leur prévenir que nous sommes conscient de la situation, et ils s'adapteront en fonction. Je pense que nous devrions simplement rester sur nos gardes, et ne pas en parler ouvertement."

Il resta dans la même position, immobile

Mais nous allons forcément être plus proche, nos attitudes vont être différentes ... Est-que nous devrions nous faire passer pour un couple aux yeux de tous ?

- Par Edward de Trystein -

Louise de la Vallière Mer 14 Mai - 23:35

"Mais nous allons forcément être plus proche, nos attitudes vont être différentes ... Est-que nous devrions nous faire passer pour un couple aux yeux de tous ?"

Sa respiration fut coupée - Edward put l'entendre.
Mon prince ! Vous rendez-vous compte de la gravité et des impactes que cela pourrait avoir ? C'est hors de question ! Je serais prise comme la futur Reine, et lorsque la vérité éclatera, vous seriez considérer comme un coureur de jupon. Nous partageons déjà la même chambre, je pense que cela n'aura rien de choquant que nous soyons proche. De plus, je doute que ce sois ce que votre mère laissait entendre dans sa lettre.

Ses mains tremblaient.

- Par Louise de la Vallière -

Edward de Trystein Mer 14 Mai - 23:38

"Mon prince ! Vous rendez-vous compte de la gravité et des impactes que cela pourrait avoir ? C'est hors de question ! Je serais prise comme la futur Reine, et lorsque la vérité éclatera, vous seriez considérer comme un coureur de jupon. Nous partageons déjà la même chambre, je pense que cela n'aura rien de choquant que nous soyons proche. De plus, je doute que ce sois ce que votre mère laissait entendre dans sa lettre."

Il était surprit ... Et un peu vexé.

Je vous répugne à ce point ?

- Par Edward de Trystein -

Louise de la Vallière Mer 14 Mai - 23:41

"Je vous répugne à ce point ?"

Sa respiration fut à nouveau coupée. Elle baissa la tête, regardant autre part.
Excusez-moi, mon prince. Ce n'est pas ce que je voulais dire.
Je ne souhaite que le meilleur pour vous, et je pense que votre proposition pourrait tenir votre réputation et votre image avant même que nous ne soyez Roi. Vous devez considérer mes mots, mon prince.

- Par Louise de la Vallière -

Edward de Trystein Mer 14 Mai - 23:45

"Excusez-moi, mon prince. Ce n'est pas ce que je voulais dire.
Je ne souhaite que le meilleur pour vous, et je pense que votre proposition pourrait tenir votre réputation et votre image avant même que nous ne soyez Roi. Vous devez considérer mes mots, mon prince."

Il souriait intérieurement, mais ne le montra pas.

Donc ... Vous pensez que le peuple a si peu d'estime pour moi pour me considérer comme un moins que rien avec seulement ça ?

- Par Edward de Trystein -

Louise de la Vallière Mer 14 Mai - 23:46

"Donc ... Vous pensez que le peuple a si peu d'estime pour moi pour me considérer comme un moins que rien avec seulement ça ?"

Elle semblait bloquée dans sa réflexion.
Mon prince, vous me torturez l'esprit..
Je ne sais plus quoi dire. Je ne sais plus quoi penser.

- Par Louise de la Vallière -

Edward de Trystein Mer 14 Mai - 23:51

"Mon prince, vous me torturez l'esprit..
Je ne sais plus quoi dire. Je ne sais plus quoi penser."

Il souriait.

Allons, Louise, je me joue de vous ! Ne vous torturez pas, je ne veux pas que vous vous sentiez mal par ma faute.
Vous avez sans doute raison pour mon idée, ce n'est pas utile. Puis-je vous poser une question malgré tout ? Avez-vous contracté une phobie des hommes durant toutes ces années en prison ? Où est-ce seulement vis à vis de moi que vous avez du mal à imaginer une certaine proximité ?

- Par Edward de Trystein -

Louise de la Vallière Jeu 15 Mai - 17:46

"Puis-je vous poser une question malgré tout ? Avez-vous contracté une phobie des hommes durant toutes ces années en prison ? Où est-ce seulement vis à vis de moi que vous avez du mal à imaginer une certaine proximité ?"

Elle semblait gênée.
Mon Prince ! Vous jouez vous encore de moi ?
Ce n'est que ma timidité naturelle qui fait barrière aux hommes. Je n'ai jamais été traumatisée.

- Par Louise de la Vallière -

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