Conversation avec l'ennemi.

Kodzune se trouva au fond de la salle, il avait son arme, mais non dégainée.
A peine entré, il fit un mouvement de bras - la porte se ferma toute seule, et les murs fondirent pour laisser place à un étrange endroit.

Oga se retrouvait devant une table basse, en face, Kodzune. Il n'y avait pas de sol, mais Kodzune et Oga semblaient tenir sur un sol invisible, ou transparent. Tout autour, énormément de bougies flottaient, dans un miasme violet.

"Ne t'en fais pas, c'est juste pour que personne n'entende notre conversation."
Il s'essaya devant une table.
"Avant de commencer, quoi qu'il arrive, je promet de te laisser repartir, avec ces informations, ou de nous rejoindre. Ton choix n'appartiendra qu'à toi. Nous ne rallions à notre cause que ceux qui s'efforce d'y croire.[/i]
Il servit un verre de saké à Oga, et s'en servit un lui même.
"Pour commencer, je vais te raconter mon histoire. Je ne suis pas doué pour les explications, donc reste concentré. Il y a longtemps, la famille Kodzune vivait une air prospère. Elle vivait en haut d'une montagne. Un jour, ma mère reçu un pouvoir inouïe - l’œil de Boddhisattva. Le pouvoir que l'une d'entre vous possède actuellement. Elle était douce, et s'en aurait probablement servit pour construire un monde de paix. Mais les habitants, affolés par sa puissance grandissante, ont pris les armes, et l'ont tués. Ils ont aussi tuer toute ma famille. J'ai tenté de libérer ma mère, mais elle m'a ordonnée de fuir avant que les gardes royaux de l'époque n'arrivent. Elle m'a suppliée. Donc je l'ai écoutée. C'est ces raisons qui m'ont pousser à cottoyer la nécromancie. Je veux revoir ma mère. Voici la petite histoire concernant mon arrivée dans la nécromancie."
Il but un peu de saké.
"Le deuxième point à connaitre est le suivant : beaucoup de personnes prennent la nécromancie pour des arts occultes. C'est vrai, dans le sens où ça fais appel aux morts. Mais c'est faux dans le sens que je vais t'expliquer maintenant. La nécromancie est une base humaine. La magie des humains. L'humanité tourne autour de la nécromancie, car la nécromancie a créer l'humanité. Tout humaniste doit devenir utilisateur de la magie des humains, soit, la nécromancie. C'est à nous, aux nécromanciens, qu'il revient de protéger ce monde. Nous luttons activement contre Fenrir et les dangers extérieurs. Nous n'avons jamais attaquer d'innocents. Cependant, les étoiles du destin sont des pions de dieu, des "tampax" même. Une fois utilisés, ils vous retirent vos pouvoirs. Le pouvoir des étoiles viennent des dieux, qui s'amusent à envoyer leurs divinités sur terre pour causer la terreur. Fenrir fait partis d'eux. Vous pouvoirs viennent donc de ceux qui sont à la tête de tout ceci. Et ils vous utilisent pour se divertir - en regardant les gens mourir. Et nous, nous réanimons ces gens pour leur permettre une vengeance contre les dieux. Nous ne sommes pas des jouets, et nous affronteront les divinités afin de mettre fin à la boucle sans fin, car Fenrir reviendra, un jour ou l'autre."
Il buvait à nouveau.
"Les pouvoirs de la nécromancies sont dépendant du nombre d'humains qui l'utilisent - entre autre, si l'humanité venait intégralement à l'utiliser tout en étant sous la même bannière, et non en s’entre-tuant, nous pourrions rivaliser avec les dieux. Bien sûr, jamais l'humanité toute entière ne le fera. C'est pourquoi il faut former le minimum qui y participera."
Il venait de finir son saké.
"Maintenant, pourquoi je t'ai choisi toi. Ton groupe crois fortement aux pouvoirs des dieux, donc c'est difficile de leur faire comprendre. Il faut aussi que tu comprennes autre chose - le domaine Kagamine n'appartient pas à l'humanité. Ce sont tous des Amarciens. La plus ancienne race du monde avec les humains, elle ne découle pas de l'humanité. Par contre, elle faisait prisonniers les humains et les utilisaient pour cultiver en agriculture, comme des paysans, ou plutôt des esclaves. Maintenant, ils ne sont plus beaucoup dans le monde, donc ils deviennent plus gentils, dépassés par l'humanité, petit à petit. Je ne te lécherais pas les bottes, tu n'es pas plus intelligent que le reste de ton groupe. Mais la différence entre toi et ton groupe, c'est que toi, tu réfléchis par toi même, et tu es humain."